L´Année dernière à Marienbad es la escritura cinematográfica de la memoria invocada por un individuo a raíz de su encuentro con una mujer a la que, según él, conoció años atrás. A partir del análisis de determinados fragmentos del filme, el presente artículo trata de dar cuenta de algunas de las constantes movilizadas en esa escritura, así el espacio fílmico, cuya plástica se descubre concomitante con la surrealista, o la estructuración del relato, presidida por una lógica interesada por el desdoblamiento y por el troceado de la escena en una serie de pedazos espacio-tiempo a la postre cosidos mediante singulares vínculos formales.
L´Année dernière à Marienbad is the cinematographic writing of a man’s memory in the aftermath of his acquaintance with a woman he supposedly met some years before. Starting from the analysis of certain film fragments, this paper aims to elucidate some of the recurrent elements in this particular writing, such as the filmic space –whose aesthetics run parallel with the surrealism- or the plot structuring, guided by a logic focused in the splitting and the scene cutting in temporal-space series, and then linked by peculiar formal bounds.
L´Année dernière à Marienbad est l’écriture cinématographique de la mémoire invoquée par un individu, après sa rencontre avec une femme qu’il a, selon lui, connue plusieurs années auparavant. À partir de l’analyse de certains fragments du film, le présent article vise à rendre compte des constantes mobilisées par l’écriture, tels que l’espace filmique, dont la plastique se révèle en corrélation avec le surréalisme, ou bien la structure du récit, présidée par une logique de dédoublement et de fragmentation des scènes en une série de morceaux d’espace-temps, cousus ensuite entre eux par de singuliers liens formels.