Amaia Arizaleta
La sección del Rimado de Palacio en que se enumeran los cinco sentidos corporales (coplas 152-174, dentro de la “confesión rimada”) posiblemente desempeñe una función substancial en los prolegómenos del libro, al permitirnos observar alguno de los mecanismos de producción del texto. La labor de escritura de Ayala en este breve fragmento se halla enmarcada por la técnica compositiva de la exégesis, que favorece el comentario de materiales bíblicos llevándolos, en el Rimado, a la esfera de la experiencia vital del yo autorial. Los sentidos corporales dan sentido, esto es, significado, a la escritura consciente del poeta, que se ajusta a un pragmatismo predominante
La section du Rimado de Palacio qui énumère les cinq sens corporels (152-174, dans la partie consacrée à la « confession rimée ») pourrait bien jouer une fonction essentielle dans l’introduction de l’œuvre, car elle suggère une voie d’entrée vers les mécanismes de production du texte. Le travail d’écriture d’Ayala lorsqu’il rédige ce bref fragment est cadré par la pratique intellectuelle et littéraire de l’exégèse, qui permet à l’auteur de commenter la Bible au moyen d’éléments issus de son expérience vitale. Les sens corporels font sens et donnent un sens à l’activité d’écriture consciente du poète, mue par un pragmatisme fondamental