Marta López Izquierdo
Se coteja en este artículo los Moralia in Iob de San Gregorio con la traducción castellana atribuida a Ayala, por una parte, y con los pasajes del Rimado de Palacio que siguen más de cerca esta tradición, con el objetivo de observar qué transformaciones se operan en la labor traductiva y en la reelaboración poética. El estudio se centra específicamente en la traducción de las cláusulas de infinitivo no concertado latinas (AcI) y se proponen nuevos datos sobre las modalidades de entrada de esta construcción latinizante en la lengua española, cuya datación suele situarse a mediados del siglo XV
Ce travail compare le texte des Moralia in Iob de Saint Grégoire avec la traduction castillane du XIVe siècle, attribuée à Ayala, d'une part, mais aussi avec les passages du Rimado de Palacio qui s'inspirent plus directement de cette tradition. Notre objectif est d'observer les transformations qui s'opèrent dans la traduction en prose et dans la réélaboration poétique. L'étude s'intéresse plus particulièrement à la traduction des propositions infinitives latines (AcI) et propose de nouvelles données sur les modalités d'entrée de cette construction latinisante dans la langue espagnole, dont la datation est généralement située au milieu du XVe siècle