On entend suggérer dans cet article que contrairement à ce que l’on pense généralement aujourd’hui, l’auteur de l’Historia Silensis n’est pas un clerc de Saint-Isidore de León ou même de León. Pour ce faire, il soumet à un examen approfondi les mots cenobium, domus seminis et habitum monachalem. Dans un second temps, il reprend avec de nouveaux arguments la proposition de J.M. Canal Sánchez-Pagin selon laquelle l’auteur de la Silensis ne peut guère être qu’un moine du monastère bénédictin de Sahagún.
Se quiere sugerir en este artículo que contrariamente a lo que se dice generalmente hoy, el autor de la Historia Silensis no era un clérigo de San Isidoro de León o incluso de León. Para demostrarlo, se examina cuidadosamente las palabras cenobium, domus seminis y habitum monachalem. Despues de eso, se vuelve con nuevos argumentos a la proposición de J.M. Canal Sánchez-Pagin según la cual el autor de la Silensis solo pudo ser un monje del monasterio benedictino de Sahagún.