Sylwia Kucharuk
El presente artículo se propone analizar la actitud de Jean Anouilh frente a la denuncia social en el contexto de la Épuration (‘Depuración’)de posguerra, movimiento violento llevado a término en contra de los colaboradores, que marcó la vida y la obra del autor. En las tres obras analizadas (Pauvre Bitos ou le dîner de têtes, La Belle Vie y La Culotte), siendo las dos últimas más tardías, menos conocidas del publico y escritas en un tono satirico, el autor parece advertirnos en contrar de las denuncias sociales sangrientas cuyo origen procede del espíritu vengativo y en las que los antiguos opimidos se convierten en opresores algunas veces incluso más violentos.
Le présent article se propose d’analyser l’attitude de Jean Anouilh face à la contestation sociale dans le contexte de l’Épuration d’après-guerre, mouvement violent mené contre les collaborateurs, qui a marqué la vie et l’œuvre de l’auteur. Dans les trois pièces analysées (Pauvre Bitos ou le dîner de têtes, La Belle Vie et La Culotte), les deux dernières étant plus tardives, moins connues du grand public et écrites dans le ton satirique, l’auteur semble nous prévenir contre les contestations sociales sanglantes qui ont pour origine l’esprit revanchard et dans lesquelles les anciens opprimés deviennent des oppresseurs parfois encore plus violents.