Xosé Xabier Ron Fernández
Frente a los silencios de la documentación, la metodología de la intertextualidade ofrece la posibilidad de recuperar del corpus de nuestra lírica esquemas métricos y estróficos, rimas y rimantes, motivos y temas, semas y vocabulario que, estudiados con el rigor de la hermeneútica permiten el reagrupamiento de textos y trovadores y sirven, cuando se producen las condiciones más idóneas, para reorientar nuestras pesquisas históricas. Estudiaremos algunos de estos hechos intertextuales a través de la producción poética de trovadores gallegoportugueses de las primeras generaciones, esto es, autores que compusieron entre 1175 y 1250 grosso modo. Analizaremos una serie de casos que consideramos claros en su planteamiento y en el objetivo central de este trabajo: deshacer el silencio documental gracias a la intertextualidade a la hora de establecer ciertas relaciones entre trovadores y su cronología.
Face aux silences de la documentation, la méthodologie de l’intertextualité offre la possibilité de récupérer du corpus de notre lyrique des schémas métriques et strophiques, des rimes et des mots-rimes, des motifs et des thèmes, du vocabulaire lesquels, étudiés avec la rigueur de l’herméneútique permettent le réagroupement de textes et de troubadours et qui servent, lorsque les conditions les plus adéquates se produisent pour orienter nos recherches historiques. Nous étudierons quelques uns de ces faits intertextuels dans la production poétique des troubadours galégoportugais des premières générations, c’est-à-dire, des auteurs qui ont crée entre 1175 e 1250 grosso modo. Nous analyserons une série de cas que nous considérons clairs dans leur formulation et pour l’objectif central de ce travail: défaire le silence des documents grâce à l’intertextualité à l’heure d’établir des relations entre les troubadours et leur chronologie.